Les règles extrêmes de la secte raélienne : le témoignage choc de Lydia Hadjara

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Temps de lecture : 2 minutes

La vie sous emprise : Lydia Hadjara brise le silence sur les règles extrêmes de la secte raëlienne

Une ancienne adepte du mouvement Raël brise l’omerta sur les abus imposés aux femmes dans la secte

Un endoctrinement dès l’enfance

Lydia Hadjara, aujourd’hui âgée de 42 ans, raconte son histoire avec une émotion palpable.
Pendant plus de 20 ans, elle a vécu sous l’emprise du mouvement raëlien, une secte fondée par Claude Vorilhon, alias Raël.
Endoctrinée dès l’enfance par sa mère, Lydia a grandi dans un environnement où la croyance en la création de la vie sur Terre par des extraterrestres, appelés les Elohim, était omniprésente.

Mais derrière cette philosophie apparemment pacifique, les règles imposées aux femmes étaient d’une violence extrême.

Des règles de soumission totales

Lydia Hadjara, comme de nombreuses autres femmes au sein de la secte, était placée sous la domination totale de Raël.

Je devais répondre à tous ses désirs, sans jamais pouvoir refuser

Son apparence physique était également scrutée de près. Raël imposait des règles strictes : Lydia devait s’habiller selon ses exigences, se raser intégralement, et perdre du poids à sa demande. Mais ce qui choque encore plus, c’est l’interdiction absolue d’avoir des rapports sexuels avec toute autre personne que Raël lui-même, ou les Elohim à leur retour.
Pour officialiser ce contrôle, Lydia a même dû signer un contrat stipulant cette interdiction.

Un isolement mental et physique total

Les règles de soumission n’étaient pas limitées à l’apparence physique.
Lydia devait également éviter d’avoir ses règles lorsqu’elle rencontrait Raël, un diktat qui, selon elle, était à la fois humiliante et dégradante.

Avec le temps, l’emprise psychologique de Raël se renforçait, l’isolant du monde extérieur. Elle perdait petit à petit son identité, sa liberté, et sa santé mentale.
Piégée dans ce système pervers, elle n’avait plus aucun contrôle sur sa propre existence.

Les yeux chargés de souvenirs douloureux elle ajoute :

C’était un système dans lequel je n’avais plus le choix. Raël avait le pouvoir de tout décider, de tout contrôler…

Un long chemin vers la liberté

Heureusement, Lydia Hadjara a réussi à s’extraire de ce système oppressant.
Après des années de manipulation et d’abus, elle a finalement trouvé la force de fuir et de briser le silence.

En dévoilant les abus subis dans cette secte, elle espère alerter l’opinion publique sur les dangers des manipulations psychologiques et sur les violences cachées derrière des mouvements comme celui des raëliens.


Qu’avez-vous pensé de ce témoignage ? Laissez vos commentaires ci-dessous pour partager votre avis sur l’impact de l’endoctrinement sectaire et les violences subies par Lydia.


Credit Photo : Freepik

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